Le mois dernier, Guillaume Chaix du Grenier de nos Ancêtres a
proposé un nouveau challenge généalogique : le #RDV Ancestral. Ou si vous aviez la possibilité de rencontrer un de
vos ancêtres, lequel choisiriez-vous ?
Ma réponse :
j’aurai envie de tous les rencontrer. Mais avec 452 ancêtres découverts à ce
jour, il faut choisir. Je vais donc m’intéresser à ceux qui ont eu, selon moi,
un aspect de leur vie insolite : profession, vie familiale, prénom,
histoire locale…
Dans l’article précédent,
on a découvert Antoine GAUCHERON,
abbé de Dommartemont à partir de 1771. Dans ses registres paroissiaux, il nous
a laissé des notes originales sur les premières années de sa cure.
Après les années
1770-1772, voici maintenant les années 1773 et 1774. Ainsi que sa toute
dernière rédaction, une note sur la fin de sa prêtrise en 1791.
Pour cette série, on reste
à Dommartemont, petite commune de Meurthe-et-Moselle. Je vous en ai déjà parlé
dans l’article précédent sur Jean
DORTEL, chauffeur à gaz au XIXe siècle.
C’est dans la généalogie de ma belle-famille que j’ai
découvert une profession liée à l’utilisation du gaz : le chauffeur à gaz.
Elle nous emmène en Meurthe-et-Moselle (54), dans l’ancienne usine à gaz de
Nancy.
Au début du XXe siècle, suite à l’évolution des lois sur
le divorce, de nombreux couples se séparent et se remarient. Dans ma
généalogie, la vie amoureuse de Paul DUBAIL, l’oncle de mon grand-père, illustre
bien ce phénomène.
Dans l’article précédent, je vous ai présenté Léon, mon grand-oncle originaire du Nord. Grâce aux archives du Service Historique de la Défense, j’ai découvert qu’il a été Résistant pendant la Seconde Guerre Mondiale.
En mai, j’ai découvert une nouvelle source généalogique grâce au blog Histoire et Généalogie : les dossiers administratifs des Résistants conservés par le Service Historique de la Défense (SHD).
Après avoir consulté la liste en ligne des 600 000 dossiers d’homologation FFI, j’ai découvert que mon grand-oncle Léon avait fait partie de la Résistance.
Après avoir consulté la liste en ligne des 600 000 dossiers d’homologation FFI, j’ai découvert que mon grand-oncle Léon avait fait partie de la Résistance.
Mise à jour : 27/05/2016
L’an dernier, j’ai répondu au défi SOSA 1000 lancé par Maïwenn Bourdic du blog
D’Aïeux et d’Ailleurs.
Ce fut l’occasion de découvrir un peu plus une branche à
laquelle je ne m’étais encore pas intéressée.
Cet article a été bénéfique puisqu’il m’a permis
d’obtenir des informations supplémentaires grâce à Jimbo Genealogie du blog
D’Arverne et d’Armorique.
Le premier enfant naturel que j’ai découvert dans ma généalogie a été Cordule LEFEBVRE. Je l’ai découverte au détour d’un mariage à la 6ème génération.
Cordule LEFEBVRE épouse Fortuné Frédéric COCHON le 16/09/1828 à Beuvry-la-Forêt, dans le Nord. Elle est dite « fille majeure de Victoire LEFEBVRE âgée de quarante neuf ans couturière domiciliée à Beuvry sa fille est née hors le mariage, ici présente et consentante ». Plus loin, l’acte mentionne qu’a été présenté « l’acte de notoriété légalement homologué qui constate le jour de la naissance de la mariée ».
Après une dizaine d’années de généalogie, il me reste une (grosse) épine : ma branche italienne. Un déplacement n’est pour l’instant pas prévu, d’autant plus que je n’ai que très peu de renseignements à ma disposition. C’est pourquoi je lance aujourd’hui cet appel pour tous ceux qui auraient des informations.
Rares sont les généalogistes qui ne se découvrent pas quelques implexes au fil de leurs recherches. Un implexe est un ancêtre que l’on retrouve à plusieurs endroits de son arbre généalogique.
Cela implique donc également une certaine consanguinité. La consanguinité était assez fréquente dans les villages aux siècles précédents, car les individus se mariaient dans le même milieu social, et de préférence au sein de familles qui se connaissaient.
Cela implique donc également une certaine consanguinité. La consanguinité était assez fréquente dans les villages aux siècles précédents, car les individus se mariaient dans le même milieu social, et de préférence au sein de familles qui se connaissaient.
En ce jour de Saint-Valentin, je souhaite évoquer un couple de ma généalogie. J’ai choisi Louis Stanislas DUBAIL et Julie Joseph QUEANT en raison de leur situation assez originale.
Julie Joseph QUEANT est née le 09/11/1778 à Goeulzin. Ses parents sont Jean Baptiste QUEANT et Catherine Joseph LEMAIRE. Tous deux sont ménagers.
Les enfants de Louis Stanislas DUBAIL et Julie Joseph QUEANT
Louis Stanislas DUBAIL est né le 05/01/1775 à Goeulzin (59). Il est le fils de Pierre DUBAIL, valet de charrue puis journalier, et de Catherine Joseph LUCAS, ménagère.
Julie Joseph QUEANT est née le 09/11/1778 à Goeulzin. Ses parents sont Jean Baptiste QUEANT et Catherine Joseph LEMAIRE. Tous deux sont ménagers.
Dans mon ascendance, je n’ai trouvé aucune famille protestante. Il faut dire que les campagnes du Nord, de Bretagne ou de Bourgogne ne sont pas des régions où les protestants étaient nombreux.
Par contre, dans la généalogie de ma belle-famille, on trouve une majorité de Lorrains et d’Alsaciens et donc, j’ai pu trouver une branche protestante.